Addictions et dépendances

On reconnait aujourd'hui les bienfaits du travail réalisé sous hypnose pour changer des comportements compulsifs, impulsifs.

Une addiction est la dépendance maladive à un objet ou a une situation donnant lieu à des comportements de mise en acte compulsif à cette dépendance, qui provoque du plaisir ou un évitement du déplaisir.

Une dépendance est un lien entretenu par un sujet avec un objet, une situation ou un individu et dont la nature est placée sous le signe du "besoin".

Je vous propose une solution au travers de la pratique de l’hypnose en technique complémentaire à la prise en charge médicale et psychologique pour vous permettre de retrouver une vie sociale adaptée, et affirmer un nouveau comportement (ancrer un nouveau comportement).

Cyrielle BOUTEILLER - HYPSO

Sophrologue et Hypnothérapeute pour gérer ses addictions ou dépendances à Provins et Nogent-sur-Seine

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La dépendance affective, c'est quoi?

La dépendance affective se caractérise par un manque de confiance en soi ou un effacement évident face au(x) partenaire(s) amoureux.

C'est le fait de ne plus vivre pour soi mais pour l’autre.

En s’effaçant totalement face à son partenaire, le dépendant affectif sombre peu à peu dans la passivité. Les personnes qui souffrent de ce type de dépendance ont souvent peu confiance en elles et recherchent sans cesse l’approbation de leur compagne/compagnon dans toutes leurs entreprises.

Elles ressentent une peur panique à l’idée d’être abandonnées et vivent la relation amoureuse comme un combat de tous les jours.

La dépendance affective, ça fonctionne comment ?

Ce sont généralement des personnes qui ont reçu peu d’attention et d’affection et/ou que l’on a responsabilisés trop tôt  (« laisse maman tranquille, tu vois bien qu’elle est fatiguée », « ne fais pas de bruit, ton frère dort », etc.) qui deviennent dépendants affectifs.

Ces personnes ont donc pris l’habitude de faire passer les autres avant elles-mêmes et n’osent pas se placer au centre de leur propre attention. Elles pensent qu’elles ne seront aimées que si elles se font discrètes et vivent principalement à travers le regard des autres.

Enfin, les dépendants affectifs expriment souvent une véritable angoisse du désaccord, ils ont du mal à refuser de rendre un service et évitent autant que possible le conflit.

Au final, les dépendants affectifs ignorent ce dont ils ont besoin et ne parviennent pas à exprimer leurs désirs ou angoisses.

La dépendance affective, comment on s'en sort?

Heureusement, il est tout à fait possible de sortir de la dépendance affective. Il convient toutefois de noter que la plupart de ceux qui en sont victimes n’ont pas conscience de leur état. C’est pourquoi un suivi psychologique pour comprendre son handicap sentimental est nécessaire en complément de l'accompagnement en hypnose.

La dépendance affective n’est pas irréversible mais pour la vaincre, il est absolument nécessaire de la reconnaître et de l’accepter.

Un dépendant affectif qui refuse de se qualifier en tant que tel ne pourra pas vivre sereinement, et ce, malgré la bonne volonté de ses proches.

La dépendance aux jeux vidéos, c'est quoi?

La pratique excessive des jeux vidéo peut représenter un danger pour les jeunes. Établir quelques règles est indispensable pour les protéger.

Ce sont essentiellement les jeunes qui sont exposés à l’addiction aux jeux vidéo. Toutefois, les cas relevant d’une addiction pathologique grave sont assez rares. Les risques de dépendance les plus importants concernent les jeux en réseaux et notamment les jeux de rôle multi-joueurs.

On considère qu’il y a addiction aux jeux vidéo lorsque le joueur se livre à ce type d’occupation de façon excessive, c’est-à-dire à partir d’une trentaine d’heures par semaine, bien plus que le temps consacré par les hardcore gamers - ou gros joueurs - à leur passion, à savoir entre 18 et 20 heures par semaine.

Pour les enfants, certains signes doivent alerter les parents, les symptômes d’addiction aux jeux vidéo étant généralement toujours les mêmes. On note par exemple des résultats scolaires subitement en baisse, un désintérêt pour tout autre type d’activité mais aussi pour les relations sociales (amicales et familiales).

La dépendance aux jeux vidéos, ça fonctionne comment ?

En effet, la pratique des jeux vidéo dans le cadre d’une addiction occupe la majeure partie du temps, puisque le sujet est incapable de réduire le temps qu’il consacre aux jeux. Cela au détriment d’autres activités qui le passionnaient pourtant, comme le sport, le cinéma, la musique, les arts plastiques ou tout simplement les sorties entre copains. Le jeune a tendance à s’isoler et ne souhaite plus sortir de chez lui.

Lorsqu’on constate des modifications du comportement chez l’enfant, il est important d’en rechercher l’origine. Celle-ci peut être totalement étrangère à la passion pour les jeux vidéo.

On peut constater des répercussions sur son sommeil car le joueur addict a tendance à jouer même la nuit, écourtant ainsi son temps de repos. Parfois, l’addiction peut également se répercuter sur l’équilibre alimentaire.

Une personne fragile qui présente une addiction aux jeux vidéo risque, en l’absence de prise en charge, de se retrouver tôt ou tard en état de souffrance psychique et de grande solitude. Il en résulte un mal-être évident. Dans de rares cas, un addict aux jeux vidéo peut devenir extrêmement triste ou agressif.

Si rien n’est fait pour lui permettre de rompre avec son addiction, le jeune est exposé peu à peu à l’échec scolaire et à une désocialisation. Il peut, à plus ou moins long terme, perdre l’estime de soi.

La dépendance aux jeux vidéos (aux écrans), comment on s'en sort ?

La prise en charge aura pour objectif de se libérer de l’emprise de sa dépendance en gérant calmement ses pulsions afin de retrouver un comportement adapté.

Les axes incontournables de cet accompagnement :

• évacuer son anxiété

• se libérer ou s’affranchir en maîtrisant ses pulsions

• développer l’estime de soi

Il est donc important d'adopter des règles pour les plus jeunes :

Réagir au plus vite est indispensable pour limiter l’impact de cette dépendance. L’accroc aux jeux ne peut lui-même se limiter. En revanche, le contrôle du temps passé à jouer doit être effectué par les parents.

Il est fondamental d'instaurer un dialogue avec son enfant, au cours duquel les jeux vidéo doivent être abordés sans tabou. C’est d’ailleurs une bonne solution pour s’intéresser à ce phénomène très actuel et montrer à son enfant que l’on partage son intérêt. Il faut surtout éviter les rapports de force.

Un jeu vidéo peut s’avérer positif s’il est parfaitement adapté à l’âge de l’enfant ou de l’adolescent, et que le temps qui lui est consacré est raisonnable.

Sa pratique ne doit pas empiéter sur la vie familiale, la scolarité, le temps de sommeil et les loisirs. Il peut d’ailleurs s’agir d’une activité à partager en famille.

Lorsque le jeune joue seul, il est souhaitable que l’espace réservé aux jeux vidéo soit situé dans les zones de l’habitation réservées à toute la famille. De cette façon, le jeune ne se retrouve pas isolé face à son écran et il est plus facile de limiter le temps passé à cette activité.

Les parents, face à un début d’addiction aux jeux vidéo de leur enfant, peuvent se tourner vers leur médecin. Le jeune peut ensuite être pris en charge par un psychologue spécialisé dans les pratiques addictologiques. Cela est utile si le jeune est un joueur pathologique, ce qui est heureusement peu courant. 

D’ailleurs, les comportements addictifs sont bien plus fréquents chez les adultes que chez les jeunes. 

Quoiqu’il en soit, lorsqu’on est en présence d’un cas extrême, mieux vaut opter pour l’orientation du jeune vers un spécialiste dans la problématique comportementale de l’adolescent et de l’enfant.

Prévenir l’addiction aux jeux vidéo passe par l’établissement de règles réelles mais non drastiques : il n’est pas question d’interdire l’accès aux jeux vidéo. Trente à soixante minutes par jour, selon l’âge de l’enfant ou de l’adolescent, est un temps de jeu tout à fait raisonnable et sans danger.

La dépendance alimentaire (ou le surpoids), c'est quoi ?


Les personnes en situation d’addiction à l’alimentation ont des apports énergétiques plus élevés et une consommation plus importante d’aliments à la fois riches en graisses et en glucides raffinés.


Le concept d’addiction à l’alimentation a été récemment proposé en transposant au comportement alimentaire les critères de dépendance à une substance . Ce concept vise à décrire les difficultés que rencontrent certaines personnes dans leur relation à l’alimentation : la perte de contrôle sur la consommation alimentaire, une incapacité à réduire leur consommation malgré le désir de le faire ou encore la poursuite de comportements malgré la connaissance des effets négatifs de cette consommation alimentaire sur leur santé.

La dépendance alimentaire (ou le surpoids), comment ça fonctionne ?

Les troubles alimentaires - manger trop, trop peu, de façon compulsive, irrégulièrement ou avec culpabilité - qu'ils soient graves ou légers, s'apparenteraient le plus souvent à une dépendance à une drogue, une substance ou une activité

Il y a d'abord une grande similitude de comportements. On sait par exemple que, chez les gens qui souffrent de troubles alimentaires, le fait d'avoir à suivre un rythme alimentaire normal génère de grands inconforts, très semblables à ceux que vivent les gens en manque de cigarette ou de drogue.

Ensuite, quand le manque ressenti est comblé - en mangeant ou en ne mangeant pas, selon le cas, la personne ressent un soulagement profond, mais de très courte durée.

Mais, plus encore, chez tous, il y a cette incapacité à reconnaître et à tolérer les besoins normaux, ceux de faim ou de satiété. Ces personnes ressentent en permanence la nécessité de « saturer » leurs besoins.

D'autre part, à la base de toutes les « addictions », ou dépendances, se trouvent des problèmes de dépendance affective qui, comme les troubles alimentaires, sont actuellement en croissance.

De plus le surpoids est un facteur de rejet social et de mauvaise estime de soi.

Il est évident que les émotions agissent directement sur le poids indépendamment du comportement alimentaire. Cette influence directe des émotions se fait par l’intermédiaire des hormones ou des neuromédiateurs du cerveau qui sont en quelque sorte, les sécrétions des hormones.

La dépendance alimentaire (ou le surpoids), comment on s'en sort ?

Pour perdre du poids, il faut apprendre à modifier ses habitudes alimentaires. Et l'hypnose peut aider à changer de comportement. Grâce à l’hypnose il est possible de modifier le comportement et la relation qu'a la personne avec son alimentation.

Perdre du poids implique de revoir son mode de vie, de se mettre au sport mais aussi de changer son alimentation. 

Se détacher de ses habitudes alimentaires n'est pas facile, et demande d'avoir un mental fort.

C'est ici que l'hypnose peut intervenir et aider à perdre du poids. Là où le sport et le régime auront un effet sur l'apport calorique et donc la perte de poids, l'hypnose pourra influer sur les résultats, dans le sens où elle peut aider à ne pas abandonner, et à aller au bout des objectifs en veillant à renforcer les motivations.

Pendant un régime, il est parfois difficile de ne pas craquer, d'abandonner le sport ou de ne pas suivre un programme alimentaire à la legèe. Là encore l’hypnose peut aider à maintenir la motivation et aider à considérer son corps autrement.

Elle influera sur le rapport à la nourriture, sur l’appétit, la manière dont la personne considère sa faim, aussi sa motivation etc.

On tentera alors de créer, de renforcer ou de modifier des images et des perceptions ancrées en la personne. On pourra également débloquer certains problèmes ancrés, et/ou de faire prendre conscience de certains dysfonctionnements (addictions, etc.).

Cette technique influe sur le comportement, celle-ci vise à aider le sujet à inciter son cerveau à adhérer à un mode de vie plus sain, et à suivre une alimentation équilibrée.

De fait, l'hypnose ne fera pas directement perdre des kilos, mais pourra aider à mincir, en renforçant le mental.

Les séances peuvent aider les sujets à avoir plus de persévérance, à mieux appréhender leur corps et à s'accepter.

En favorisant l'équilibre, le bien être et en aidant à mieux vivre une période de régime, l'hypnose peut être un coup de pouce qui aidera certaines personnes dans leur processus de perte de poids.

La dépendance au tabac / drogues / alcool, c'est quoi ?

Parmi les diverses méthodes de sevrage, l’hypnose séduit de plus en plus de personnes bien décidés à en finir avec l'objet de leur addiction. Cette approche vise à modifier le rapport de la personne à son objet d'addiction en prenant appui sur ses croyances ou ses rituels.

On observe que les divers  composants de ces addictions contiennent beaucoup de composés chimiques dont une bonne partie considérés comme cancérigènes.

Leur simple inhalation/ingestion produit de nombreuses substances nocives pour l’organisme. 

L’origine de ces substances est double. Une partie provient directement des pesticides et produits

radioactifs utilisés pour la culture des plantes; l'autre est ajoutée volontairement par les fabricants de qui n’hésitent pas à utiliser des produits hautement toxiques tels que l’ammoniac pour favoriser la fixation de certains agents et renforcer la dépendance.

En disant adieu aux objets de dépendance, c’est refuser d’inhaler/ingérer des composants de produits antimites (naphtalène), du carburant (méthanol), des solvants (toluène), du poison (arsenic) et autres, la liste est encore très longue.

La dépendance au tabac / drogues / alcool, comment ça fonctionne ?

Ces dépendances sont une source de nombreux plaisirs et les consommateurs deviennent dépendants. Il existe en effet trois types de dépendance dans ces substances :




La dépendance au tabac / drogues / alcool, comment s'en défaire ?

Pour mettre fin à la dépendance, la personne doit avoir un équilibre psychologique stable et il doit mobiliser toute sa volonté.

Les études consacrées aux résultats du sevrage tabagique par l’hypnose ont permis de révéler le constat suivant : Les programmes de traitement hypnotique comportant 3 à 4 séances offrent des taux de réussite de 67%. À savoir que l’arrêt du tabac peut se faire dans les 6 mois qui suivent la prise en charge tabac.

Les sevrages faisant appel à une seule séance donnent un taux de réussite allant, selon les études, de 17% à 30%.

NE JAMAIS OUBLIER QUE LA RÉUSSITE RESTE ALÉATOIRE…

Comment agir grâce à l'hypnose ?

Mes prises en charge s’orientent généralement vers un état de prise de conscience de son état afin d'agir et de permettre de développer ses capacités nécessaires pour lutter contre son addiction et ancrer son nouveau comportement.

Pour rappel, dans tout parcours de travail sous hypnose pour une dépendance ou addiction : 

Il faut vous investir et vous responsabiliser. L’hypnose n’est pas de la magie mais un levier de vos multiples capacités et c’est vous qui vous impliquez dans la démarche.

Voici quelques exemples de demandes formulées par des personnes pour lesquelles l’hypnose est pertinente :

Avant de vous engager dans un parcours d'accompagnement, veuillez vous assurer que votre addiction ou dépendance a bien été diagnostiqué par un professionnel du corps médical ou psychologique et que vous faites l’objet ou avez fait l’objet d’un suivi médical sur ce sujet.

L’hypnose est pratiquée en technique complémentaire à la prise en charge médicale. 

Elle ne se substitue pas à la prise en charge médicale.

Communautés, collectivités, associations, je vous propose d'intervenir en hypnose de deux manières différentes :

L'accompagnement en individuel reste possible sur toutes les thématiques concernant les dépendances et addictions.

Mon approche :